Ma revanche BRETZELienne du KKVKVK n°5
Je ne voulais pas rester sur ma petite deception,
et il faut avouer que j'étais bien curieuse
sur la question du goût des Bretzels !
Je crois que je n'en avais jamais mangé,
maintenant c'est fait et je me suis régalée !!!!
J'ai remis mon tablier et j'ai recommencé.
Pour la petite histoire du bretzel,
je vous livre ma recherche sur le net,
j'ai trouvé ce qui suit chez "un Troll à Paris".
Étymologie
Dans le Larousse du XIXe siècle on cite "bretzel", mot alsacien, de l'allemand brezel dérivé du latin I brachium, "bras". Le Grand Robert reprend cette définition en ajoutant : bretzel, nom masculin, sorte de pâtisserie ayant la forme de deux bras entrelacés ; sorte de craquelin.
Forme
Son origine semble déjà remonter a l'époque celtique, ou l'on représentait les planètes et les saisons sous forme de pâtisseries. Ainsi le pain en forme d'anneau, dit Jula, (début février), se gardait jusqu'aux moissons ; on le réduisait en chapelure pour la mélanger à la semence nouvelle. En Alsace, l'anneau était garni de quatre rayons en pâte, que l'on réduisit plus tard. Charles Gérard dans L'Ancienne Alsace a Table semble croire que les Romains l'aient introduit chez nous sous le nom de " panis tordus ".
La confection artisanale des bretzels se compose de plusieurs stades ; un bretzel est fait d'eau, de farine, de sel, de levure de boulanger et d'extrait de malt, dont on fait une pâte consistante, après un minutieux pétrissage manuel ou mécanique. Après maintes manipulations, la pâte est débitée en bandes ou en rubans (environ 15 cm de long) que le boulanger va, une a une, faire rouler sous ses mains pour les transformer en saucissons de pâte effilée.
Chacun est alors " noué " en forme de bretzel en rabattant alors les extrémités amincies sur la partie centrale plus épaisse et plus dodue du bretzel (très important pour la saveur de la dégustation). Puis les bretzel sont rangés par quatre sur les clayettes et mis au repos pour qu'il gonflent pendant 2 heures.
Ensuite on les plonge par deux ou quatre dans un bain bouillant contenant ou du bicarbonate de soude ou une saumure de sodium et on attend qu'ils remontent à la surface. Le boulanger au fur et à mesure dispose les bretzels sur une pelle en bois, les garnit de gros sel et les enfourne dans son four, jusqu'à ce qu'ils soient bien chauds et dorés ; les déguster une heure après la cuisson . Les bretzels se mangent frais, le jour de leur cuisson et doivent être livrés aussitôt ; dés le lendemain ils commencent à sécher et
deviennent durs.
Je vous livre donc mes derniers Bretzels,
la recette c'est ici, chez Sandra du Pétrin...